Sur la route de Séville
Sans péripétie cette fois, nous sommes bien arrivés en train à Zafra, dernière ville d'Estremadure mais qui annonce déjà l'Andalousie.
La Plaza Major
Le patio de l'Ayuntamiento, la mairie
Une porte derrière laquelle se cache la vieille ville
et la fraîcheur de la soirée qui redonne de la vie aux rues endormies de l'après midi
Après Zafra, ça s'est mis à grimper. Normal, une sierra nous sépare de Séville. Et c'est comme ça que Caticolo s'est vu décerner le titre de "Reina de la Sierra"!
Les oliveraies sont omniprésentes.
Et les cochons ibériques se mettent à l'ombre.
Élevés en semi liberté, ils sont transformés en jambon, le jamòn iberico, excellent! Ce soir là au camping un menu de haut standing pour le randonneur: pommes de terre à l'eau et jamon iberico!
Les petites villes traversées sont aussi coquettes les unes que les autres.
La traversée de la Sierra est une alternance de montées et descentes mais dont le pourcentage n'est jamais très élevé.
Le matin, malgré les premiers rayons de soleil, il fait parfois un peu frais pour déjeuner.
Mais dans la journée nous recherchons l'ombre pour garer les vélos pendant le pique-nique,
ou pour manger une sucette en haut d'une côte!
Une dernière bosse et c'est une descente vers Séville qui s'annonce, passant de 350m à 10m d'altitude.